Investir dans les jeunes, en tant que parties prenantes, nous aidera à vaincre les MNT

14 août 2018

À l’approche de la Journée internationale de la jeunesse, le 12 août 2018, deux engagements politiques importants devraient, avec un peu de chance, aboutir à l’amélioration tant attendue de la santé des patients : la Réunion de haut niveau (RHN) des Nations Unies sur les maladies non transmissibles (MNT) et le renouvellement de l’engagement à la Déclaration d’Alma-Ata.

Depuis le début du siècle, on a assisté à l’essor de la notion d’ « engagement des jeunes » et à l’approche du renouvellement de cet engagement, je réfléchis au moment où tout a commencé cette année,  aux principales lacunes qui devraient informer ce qu’on considère comme des événements historiques, et aux ressources de plaidoyer mises au point par les jeunes afin de s’assurer que leurs recommandations spécifiques soient prises en considération par les gouvernements pour véritablement continuer à progresser dans la lutte contre les MNT de façon inclusive.

Comme bon nombre de mes semblables dans le monde, habituellement, je suis de loin, avec une grande attention, l’Assemblée mondiale de la santé (#WHA71) – je note les différentes résolutions, je suis la conversation sur Twitter, je pense à ce que je dirais si j’étais à l’intérieur du Palais. Cette année, c’était diffèrent : d’abord, j’ai eu l’occasion d’y assister en personne, mais surtout, le dialogue avec les jeunes, et à leur sujet, a marqué un grand changement par rapport aux années précédentes. Devenu électrisant, il est le signe de changements à venir.

 

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