Qui nous sommes
L’Alliance sur les MNT a été créée par quatre fédérations d’ONG internationales représentant les quatre principales MNT, maladies cardiovasculaires, diabète, cancer et maladies respiratoires chroniques. Avec d’autres grandes ONG internationales partenaires, l’Alliance sur les MNT réunit aujourd’hui un réseau de plus de 2.000 organisations de la société civile de plus de 170 pays. La mission de L’Alliance sur les MNT consiste à unir et renforcer la société civile afin de stimuler la collaboration autour du plaidoyer, de l’action et de la responsabilisation pour la prévention et la maîtrise des MNT.
« L’Alliance sur les MNT est un acteur politique particulier…qui peut et devrait être un partenaire clé pour le leadership des Nations Unies » - Dr. Peter Piot, directeur de la LSHTM
Ce que nous faisons
L’Alliance sur les MNT, à travers des efforts de plaidoyer et mobilisation, fait en sorte que les MNT soient reconnues en tant que cause profonde de pauvreté, frein au développement économique, et urgence mondiale. Elle le fait en travaillant avec de nombreux partenaires et organisations, en parlant d’une voix unie aux réunions internationales, en mobilisant les 2.000 organisations de notre réseau, en produisant de nouveaux travaux de politiques sur les MNT, en créant une base de données probantes, en réunissant des groupes de travail d’experts sur une variété de sujets, et en incitant les gouvernements à reconnaitre que les MNT constituent une priorité de développement mondiale qui exige une réponse urgente.
L’Alliance sur les MNT travaille avec de nombreux partenaires qui partagent un intérêt commun : l’amélioration de la vie des personnes vivant avec une MNT, et le traitement des facteurs de risque.
« L’Alliance sur les MNT, qui représente 880 organisations membres dans 170 pays, est une initiative positive qui favorise la coopération entre organisations non gouvernementales internationales autour de la réalisation d’objectifs communs de lutte contre les MNT. » - Groupe d’action sur les MNT de la revue Lancet, 2011